Pompes funèbres : Fontenay-sous-Bois (94120) Afficher la carte

Où trouver des pompes funèbres à Fontenay-sous-Bois ?

Fontenay-sous-Bois, ville située dans le département du Val-de-Marne (région Île-de-France), compte 53 257 habitants, qui portent le gentilé de Fontenaysiens. 

Chaque année, à Fontenay-sous-Bois, 165 personnes sont déclarées décédées.  

À Fontenay-sous-Bois, enterrer un défunt revient environ à 2055 €. Procéder à une crémation, revient alors à 2739 €, ce qui en fait une prestation un peu plus onéreuse. 

Pourquoi faire appel aux pompes funèbres de Fontenay-sous-Bois ?
Parce qu’il s’agit d’une obligation légale.  

Une fois qu'elle a déclaré la disparition du défunt à la mairie du lieu du décès, la famille doit impérativement contacter une entreprise de pompes funèbres sous 24H pour transférer le corps dans une chambre funéraire (48 heures de délais pour le faire) et organiser les obsèques (6 jours maximum). 

Les pompes funèbres dans le Val-de-Marne et à Fontenay-sous-Bois, et plus particulièrement le conseiller funéraire et son équipe, sont au service des familles endeuillées. Ils les soutiennent moralement et administrativement. Ces professionnels sont à l’écoute, empathiques et respectueux du deuil des familles. 

Ensemble, il convient de choisir le cercueil adapté, l’urne cinéraire, les variétés et couleurs de fleurs souhaitées, la forme et la couleur du marbre de la pierre tombale, etc. 

Avec l'accord de la famille, un avis de décès pourra être publié sur un site spécialisé et/ou dans un journal papier. Il permettra aux proches du défunt d'être avertis de sa disparition. Les pompes funèbres de Fontenay-sous-Bois se chargent de la rédaction et de l’envoi au site ou au journal de presse qui le publiera le jour souhaité. 

Quand ont été créées les premières pompes funèbres ? 
Il fut un temps où seules les églises pouvaient organiser des cérémonies funéraires. Au Moyen-Âge, certaines catégories de populations étaient privées d'obsèques dignes de ce nom : les non-catholiques, les homosexuels, les femmes divorcées, les suicidés… La crémation était également prohibée par l’Eglise alors qu'elle était largement pratiquée dans l'Antiquité.  

L'avènement de la médecine vit apparaître les premiers cimetières urbains principalement situés au nord des villes et gérés par les paroisses. Puis les pompes funèbres deviennent un service public en 1905. Ainsi, chacun, quel que soit son statut ou sa religion peut enfin avoir une sépulture et une cérémonie lors de ses obsèques.  
(Crédit photo : iStock)