1 RUE FERDINAND BUISSON
80480 Salouël
1 ALL PIERRE GALIBERT
80480 Pont-de-Metz
ROUTE DEPARTEMENTALE 901
80490 Sorel-en-Vimeu
3 RTE DE ST MARD
80700 Roye
21 AV VICTOR HUGO
80500 Montdidier
7 RUE DE MOLLIENS
80640 Hornoy-le-Bourg
2 RTE DE VILLE SUR ANCRE
80300 Méaulte
48 RTE DEPARTEMENTALE
80230 Saint-Valery-sur-Somme
13 B QUAI DU ROMERELLE
80230 Saint-Valery-sur-Somme
495 ALL DES SALICORNES
80230 Saint-Valery-sur-Somme
24 GRANDE RUE
80500 Gratibus
ZAC LE CARDONNOIS
80290 Gauville
1 RUE DU MOULIN
80770 Beauchamps
2 RUE DES AIRETTES
80540 Molliens-Dreuil
7 RUE DE SOYECOURT
80240 Bernes
1 - 15 sur 83 pompes funèbres
Connu pour son importance stratégique pendant la Première Guerre mondiale, le département de la Somme se trouve dans la région des Hauts-de-France. Fier de son patrimoine historique et de ses traditions, ce territoire organise chaque année la fête de la Mer. Les marins défilent dans les rues du Crotoy et la cérémonie s’achève avec la bénédiction de la mer. La population du département reste assez stable depuis les années 1970 et présente un bon niveau de vie. Le revenu net moyen y est estimé à 2 144 euros par mois. Les Samariens vivent surtout dans les communes d’Amiens, Abbeville et Albert.
La Somme compte par ailleurs 106 pompes funèbres sur l’ensemble de son territoire. Ces institutions ont pris en charge les funérailles des 6 323 Samariens décédés en 2019, selon l’Insee. On trouve également, implantées dans la Somme, 5 entreprises spécialisées dans la confection et la vente d’objets funéraires et de cercueils. Les pompes funèbres locales ont donc un vaste choix de modèles disponibles. Le département compte 2 crématoriums.
Pour rendre religieusement hommage aux défunts, 57 églises catholiques, 9 églises protestantes, 8 mosquées et une synagogue, située à Amiens, existent. Elles permettent aux familles endeuillées de se recueillir ensemble auprès de leur proche disparu et d’y pratiquer les rites funéraires adaptés à leur foi. D
En 2019, 1 507 décès se sont produits à domicile dans la Somme. Dans cette situation, il faut d’abord composer le 15 pour obtenir un certificat de décès officiel. Ce document doit ensuite être présenté à la mairie, en plus des pièces d’identité du déclarant, du défunt et du livret de famille. Un acte de décès est alors remis par l’officier d’état civil et les pompes funèbres peuvent commencer l’organisation des funérailles. Le transfert du corps par les pompes funèbres doit avoir lieu dans les 48 heures suivant le décès et les obsèques au plus tard six jours après. La publication d'un avis de décès est également une démarche courante.
Si le décès survient à l’hôpital, comme ce fut le cas pour 3 432 personnes dans la Somme cette année-là, ou dans un établissement pour personnes âgées, où 459 Samariens sont alors décédés, le personnel soignant constate le décès et le directeur de l’établissement s’occupe de le déclarer en mairie. Le défunt est ensuite conduit dans une chambre mortuaire où il repose jusqu’à ses obsèques.
Le conseiller funéraire accueille et accompagne ensuite les familles samariennes dans l’organisation des funérailles. Tous les proches qui le souhaitent peuvent participer à l’éloge funèbre pour lire un poème, un texte personnel ou passer une musique souvenir, par exemple.
Par ailleurs, lorsque le défunt avait souscrit de son vivant un contrat obsèques, les pompes funèbres choisies lors de cette souscription suivent ses consignes à la lettre. Il s’agit d’une obligation légale sur la liberté des funérailles. La famille peut alors se concentrer sur ses hommages et se laisser porter par les experts funéraires dans le deuil qu’elle traverse.
(Crédit photo : iStock)