Pompes funèbres : Bouches-du-Rhône (13) Afficher la carte

Trouver des pompes funèbres dans les Bouches-du-Rhône

La population du département des Bouches-du-Rhône ne cesse d’augmenter depuis les années 1960. Situé en région Provence-Alpes-Côte d’Azur, ce territoire se révèle très attractif, en raison de son climat ensoleillé et de son patrimoine culturel impressionnant. Les habitants du département, les Bucco-Rhodaniens, vivent au rythme de nombreuses festivités. Tous les ans, par exemple, le premier dimanche de juillet, les Marseillais célèbrent la fête de la Saint-Pierre, le saint patron des pêcheurs et des marins. Marseille, la préfecture, constitue d’ailleurs la ville la plus peuplée du département, suivie d’Aix-en-Provence et Arles. Le salaire net moyen local est évalué autour de 2 447 euros mensuels, un revenu qui assure donc à la population un train de vie confortable. 

En 2019, 19 348 décès ont été recensés par l’Insee dans les Bouches-du-Rhône. Parmi eux, 5 754 décès ont eu lieu à domicile, 8 106 à l’hôpital et 1 759 dans les établissements pour personnes âgées. Les 253 pompes funèbres du département ont pris en charge les funérailles de ces proches disparus et accompagné leurs familles dans leur deuil. On trouve également dans les Bouches-du-Rhône, Bernier frères, entreprise spécialisée dans la confection et la vente de cercueils, et 4 crématoriums. 

Quelques démarches administratives incombent aux familles endeuillées malgré leur chagrin. Les experts funéraires ne peuvent amorcer la préparation des obsèques qu’une fois l’acte de décès officiellement délivré. Pour cela, il faut obtenir un certificat de décès auprès d’un médecin puis le présenter en mairie, muni également de la pièce d’identité du déclarant, de celle du défunt et du livret de famille. L’officier d’état civil remet alors un acte de décès et les pompes funèbres disposent de 48 heures après le décès pour transférer le défunt dans leurs locaux. Si le décès se produit dans un établissement médicalisé, les personnels soignants et administratifs prennent en charge ces formalités et conservent le corps dans une chambre mortuaire jusqu’à la date des funérailles. 

Une fois l’acte de décès édité par la mairie, les pompes funèbres veillent au bon déroulement de chaque étape précédant les obsèques, jusqu’à la fin de la cérémonie. Le conseiller funéraire commence par recevoir les familles Bucco-Rhodaniennnes pour penser les funérailles durant les six jours ouvrables qui suivent. Avec les proches du défunt, ils réfléchissent à une cérémonie digne et émouvante, comprenant des interventions personnelles de la part des proches pendant l’éloge funèbre. Chacun peut alors témoigner et évoquer une anecdote, sélectionner une musique souvenir, réciter un poème ou encore lire un texte personnel, rédigé avec le cœur. Si le défunt avait souscrit de son vivant un contrat obsèques, les pompes funèbres choisies respectent ses volontés : choix du cercueil, type de cérémonie, choix des fleurs et gerbes, rédaction et publication de l’avis de décès, choix des objets funéraires, de la marbrerie… Il s’agit d’une obligation dictée par la loi du 15 novembre 1887. 

Pour rendre religieusement hommage aux défunts, 150 églises catholiques, 79 églises protestantes, 29 mosquées et une synagogue à Marseille permettent aux familles endeuillées de se recueillir auprès du défunt. 
(Crédit photo : iStock)