Vie personnelle : 
La vie privée de Charles Trenet reste assez floue pour beaucoup. La question de son orientation sexuelle le poursuit d'ailleurs toute sa vie. On lui prête de nombreuses relations avec les grands noms du milieu (Cocteau, entre autre) mais il ne s’exprime jamais sur le sujet. Charles Trenet n’a pas eu d’enfant. Il est bien plus connu pour ses démêlés avec la justice. Procès pour plagiat à l’encontre de Claude François, passage en prison… A sa mort, survenue suite à deux accidents vasculaires, il lègue tout son patrimoine à son secrétaire particulier, Georges El Assadi. Ce dernier est poursuivi par la famille Trenet pour abus de faiblesse.   

Vie professionnelle :
Surnommé « le fou chantant », Charles Trenet se familiarise avec la musique grâce à sa mère, grande passionnée de jazz et de piano. De 1930 à 1936, il forme le duo « Charles et Johnny » avec le pianiste Johnny Hess. Les deux amis sont vite repérés, notamment par Joséphine Baker, qui leur permet d’accéder à un gros contrat. A partir de 1936, le duo se dissout et cela marque le début d’une carrière solo pour Charles Trenet. Durant son service militaire, il participe à des galas et compose pour l’occasion ses chansons au succès planétaire : Y’a de la joie, Je chante et bien d’autres encore. La Seconde Guerre mondiale n’empêche pas le chanteur de composer de nouveaux morceaux comme Douce France, reprise comme un hymne à la résistance. S’ensuite alors une tournée mondiale pour Charles, presque jusqu’à son dernier souffle. 

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